La source de la musique afro américaine, afro cubaine, antillaise, brésilienne et jamaïcain est l’Afrique... Maman Rythme est l’Afrique ! En Afrique vous allez à tel endroit, vous entendez un rythme, et deux milles plus loin, les gars jouent complètement autre chose. Ils jouent ce qu’ils vivent. Les enfants de l’Afrique en Occident ont plusieurs façons d’exprimer leur attachement à la Maman. Les Brésiliens Africains ont créé la samba, les Caraïbes le calypso, Cuba la rumba et un tas d’autres rythmes. Le blues, les spirituals tous ont des caractéristiques différentes. Néanmoins ils constituent un ensemble, et sont sous l’influence des différents rythmes africains.
Le jazz n’est pas qu’une expérience américaine, C’est un prolongement de la culture africaine qui s’est poursuivi au 20ème siècle et dans le 21ème, avec un mélange. C’est un mixte de cultures, une musique de liberté.
le jazz que nous connaissons aujourd’hui est la plus haute forme musicale, sur cette planète. C’est évident car tout évolue. Parce que cette dynamique est nourrie du génie noir dans le monde, il faut l’accepter telle que. C’est la musique des dernières décennies, qui entre dans le prochain siècle. Les Brésiliens Africains ont créé la samba, les Caraïbes le calypso, Cuba la rumba et un tas d’autres rythmes. Le blues, les spirituals tous ont des caractéristiques différentes. Néanmoins ils constituent un ensemble, et sont sous l’influence des différents rythmes africains.
Le jazz n’est pas qu’une expérience américaine, C’est un prolongement de la culture africaine qui s’est poursuivi au 20ème siècle et dans le 21ème, avec un mélange. C’est un mixte de cultures, une musique de liberté.
L’histoire du jazz féminin est celle d’un long parcours d’obstacles : de Ma Rainey ou aux stars actuelles comme Diana Krall ou la folk-jazz Norah Jones, les Jazz Ladies durent affronter à la fois le racisme et la misogynie. Elles furent tout d’abord chanteuses d’orchestre, avant de trouver toute leur place durant la guerre, quand les hommes furent mobilisés. Elles seront plus tard des militantes des droits civiques avant d’être enfin reconnues, dans les années 1960-1970, comme de grandes artistes. »