Trois des six carcasses de cheval provenant du Royaume-Uni et contenant de la phénylbutazone, un médicament nocif pour l'homme, ont été écoulées sur le marché français. Le ministre de l?Agriculture l'assure sur i>TELE : le niveau de substance en cause décelée à "un niveau extrêmement faible (...) n'entraine pas de risque sanitaire".