Les mutuelles étudiantes enregistrent de très nombreuses demandes de consultation en gynécologie. Mais dans certains départements, les services universitaires de médecine préventive et de promotion de la santé sont débordés en raison du manque de gynécologues, et renvoient les patientes vers des praticiens privés et plus chers.
Catherine Procaccia (Val-de-Marne) recommande la mise en place d’un tarif opposable pour les consultations de gynécologie des étudiants.