Après les pilules accusées de provoquer la formation de caillots sanguins, un traitement contre l'acné utilisé comme contraceptif, Diane 35, est pointé du doigt pour les mêmes risques par l'Agence française du médicament, qui confirme quatre décès "liés" au traitement. L'Agence a indiqué dimanche que Diane 35 et ses génériques faisaient l'objet d'une "analyse spécifique" et qu'un "rapport complet, ainsi que des mesures concernant l'utilisation de ce traitement de l’acné", seraient "rendus publics la semaine prochaine."