En France, la piste d'un règlement de compte est privilégiée dans l'enquête sur l'assassinat de trois militantes kurdes tuées par balle, à Paris, il y a une dizaine de jours.
Un turc de 30 ans qui dit appartenir au même mouvement, le PKK - le Parti des Travailleurs du Kurdistan - a été mis en examen pour les meurtres. C'était le chauffeur de l'une des victimes.
...
http://fr.euronews.net/