William Sheller-Les machines absurdes

2012-11-15 5

Chanson assez étrange qui nous plonge dans un univers un peu surréaliste Elle est extraite de "Epures" (2004) Mais c'est en fait la version piano solo du titre qui a donné le nom à l'album de William Sheller sorti en 2000

J'ai rêvé un soir de solitude
Avec exactitude une heure au bord de l'eau
J'ai cru voir avec incertitude
Des machines absurdes passer sur les flots

Vers les lumières oranges
Les gens ça les dérangent
Que je ne sache pas auquel ressembler
Vous aviez l'air étrange
Des yeux de mauvais ange
Que je ne veux plus oublier

J'ai le mal du cœur en altitude
Dans l'immensitude de mon ciel aimé
C'est faut croire une fâcheuse habitude
Et j'ai peu d'aptitude à la vouloir changer

Vers les lumières oranges
les gens ça les dérangent
Que je ne sache pas auquel ressembler
Vous aviez l'air étrange
Des yeux de mauvais ange
Que je ne veux plus oublier
J'ai rêvé un soir de solitude
A des machines absurdes
Une heure de mon passé