Alors que le contrôleur général des lieux de privation a dénoncé, à plusieurs reprises, l'industrialisation de la détention, Bruno Retailleau (Vendée) alerte le gouvernement sur la situation de certaines unités de détention, victimes de surencombrement.
Pourtant, lors de la présentation du budget, au mois de septembre, l’objectif de créer 80 000 places a été réduit à 63000. Le sénateur s’inquiète de l’effet de cette décision sur les projets de modernisation des unités de détention vieillissantes.