Les épisodes successifs de sécheresse et de réhydratation, font subir aux sols argileux des mouvements de terrain qui affectent gravement les infrastructures et les habitations et entrainent des travaux souvent très onéreux.
Sophie Primas (Yvelines) attire l’attention du gouvernement sur la question de la procédure de reconnaissance l’état de catastrophe naturelle pour les mouvements de terrain, et souhaite connaitre les pistes envisagées pour améliorer la prise en compte de ces phénomènes climatiques.