La libération de son camp, Addy ne s'en souvient pas. Alors inconscient, il est pris en charge et soigné par les Américains, avant de rentrer à Paris et d'atterrir au Lutetia, lieu de passage obligé des déportés. Il prend un ticket de métro et retrouve ses parents. « Sa vraie libération », confie-t-il. Reste la question, essentielle : comment vivre après l'expérience concentrationnaire ? Addy évoque le sport, l'amour de ses parents et de la femme qu'il rencontre ensuite, et du besoin d'idéal.
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