Un ennemi, et un seul, répète Marine Le Pen : « le fondamentalisme islamique ». La candidate du Front national promet de mettre à genoux ce « fascisme vert » et regrette que certains puissent se tromper de combat. « Le nazisme, ça n'existe pas », assure-t-elle, traitant de « crétins » et de « débiles » ceux qui pourraient en faire l'apologie.