Georges Tron, accusé par d'anciennes collaboratrices d'agression sexuelle, tenait vendredi son premier Conseil municipal à Draveil (91) depuis le début de l'"affaire". Quelques dizaines d'habitants sont venus pour l'occasion demander la démission du maire, dans le cadre d'une "pied pride" organisée par une élue d'opposition. Mais c'était sans compter sur les partisans de Georges Tron, venus en nombre pour, eux aussi, donner de la voix. Et accuser les détracteurs du maire de marcher pour le FN.