Rassemblés à l'appel de la CGT-métallurgie et de la CGT-chimie, des centaines de salariés du secteur de l'automobile se sont invités vendredi au Mondial de l'Auto, porte de Versailles (Paris XVe).
Ils avaient été autorisés à entrer dans le salon pour le «visiter», selon les termes du directeur technique du Mondial, Jean-François Imbert. Mais l'ambiance était tendue avec les force de l'ordre. Une partie des manifestants a été bloquée à l'entrée par des jets de gaz lacrymogène.
En pénétrant dans le salon, la CGT comptait faire entendre ses revendications sur la défense «des emplois, des salaires et des retraites».
