L'expertise psychiatrique de la maîtresse d'Edouard Stern, qui a tué le banquier en février 2005 en Suisse lors d'ébats sado-masochistes, a apporté de l'eau au moulin des avocats de la défense en décrivant un «crime d'amour» commis par une personnalité «borderline».
«Le comportement de Cécile Brossard au moment du meurtre correspond à ce qui est décrit dans la littérature scientifique comme un crime d'amour», a exposé le Pr Jacques Gasser au deuxième jour du procès de la Française devant la Cour d'assises de Genève.
Compte-rendu de notre envoyé spécial, Jean-Marc Ducos.