Peu de temps avant qu'il ne déclenche sa balise de détresse, à quelques milles du cap Horn, Jean Le Cam sentait sa chance tourner. "Il y a tellement de grains (ndlr : violents coups de vent) que j'ai peur de me retourner", confiait-il lors de sa dernière liaison radio avec le PC course du Vendée Globe. "Par les temps qui courent, rester en course est presque un exploit en soi", estimait le skipper.