Après le cambriolage de son appartement de Boulogne-Billancourt, le 27 juin dernier, Ségolène Royal accuse:. elle établit clairement un "rapport" entre ses attaques contre Nicolas Sarkozy et la "mise à sac" de son domicile.
Elle assure même être "sans doute suivie" ou "écoutée". Indignée, la droite monte au créneau, à l'image de son porte-parole Frédéric Lefebvre, pour qui elle doit recevoir une "aide psychologique". "Je suis ulcéré qu'elle puisse proférer des insinuations sans le moindre début de preuve", poursuit-il, parlant même de "société de la délation" et "d'attaques ignominieuses".