DÉCÈS AU CHU DE DIJON – JUILLET 1980 : MENSONGES ET NON DIT

2012-06-28 92

HOMICIDE PAR NÉGLIGENCES AU CHU DE DIJON

VIDÉO ÉDIFIANTE D'INFORMATION POUR LES SERVICES DU PARQUET DE DIJON ET LE PEUPLE FRANCAIS, CONCERNANT LES MENSONGES ET NON DIT AUTOUR DU DÉCÈS BRUTAL DE MON ARRIÈRE GRAND-MÈRE LE 28 JUILLET 1980 (OU PEUT-ÊTRE LE 27, QUI SAIT ?) AU CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE DIJON (CHU), DIT "HÔPITAL DU BOCAGE". UN ÉTABLISSEMENT QUI, VISIBLEMENT, ASSUME DIFFICILEMENT LA COMMUNICATION AVEC MA FAMILLE SUR LES FAITS RELATÉS ICI.

ACTION POUR LA RECHERCHE DE LA VÉRITÉ ET LE RÉTABLISSEMENT DE LA JUSTICE, MENÉE AFIN DE SUIVRE STRICTEMENT LA LAMENTABLE RECOMMANDATION POSTALE DE MONSIEUR PIERRE-CHARLES PONS, DIRECTEUR DU CHU DE DIJON.

EN PUBLIANT CETTE VIDÉO ET EN METTANT AINSI FIN AUX MENSONGES, NON DIT ET DISSIMULATIONS GRAVITANT AUTOUR DE CE DÉCÈS, JE ME SENS PROFONDÉMENT LIBÉRÉ D'UN POIDS ÉNORME QUE J'AI PORTÉ EN MOI DURANT 32 ANS.

DERNIERE MINUTE : Ma grand-mère m’apprend qu’à l’époque des faits, une infirmière aurait déclaré après le décès que, le 27 Juillet dans la nuit, elle aurait appelé chez mes parents, que personne n’aurait répondu et que l’hôpital aurait rappelé le 28 au matin. Alors que mes parents et moi-même nous trouvions tous à la maison en train de dormir au moment du soi-disant premier appel nocturne !!! On n’aurait pas entendu l’épouvantable sonnerie du téléphone, en pleine nuit ?! Je vous garantis que le vieux téléphone de l’époque faisait tellement de boucan que s’il avait bien sonné dans la nuit du 27, ma mère aurait été la première à sauter dessus pour le décrocher ! Mais ce qui m’interpelle, c’est la raison d’un premier appel la nuit, plusieurs heures avant la mort supposée de mon arrière grand-mère, puisque celle-ci est censée être morte subitement le matin du 28 en quelques minutes, d’après le Pr J.-P. FAVRE !!! Par conséquent, si elle est bien morte le 28 au matin en quelques minutes, pourquoi nous aurait-on déjà appelés le 27 en pleine nuit ? Pour nous raconter quoi ??? Je crois que, dans cette ville, d’aucuns ont vraiment l’art et la manière de prendre les gens pour des cons. Et, dans ce dossier, j’ai comme l’impression qu’on n’est pas encore au bout de nos peines !... Chers Messieurs et chères Mesdames du CHU de Dijon, êtes-vous bien sûrs que mon arrière grand-mère ne serait pas plutôt morte en pleine nuit, entre le 27 et le 28, à un moment où aucune personne compétente, voire personne tout court (!!!), n’était en mesure de lui porter les premiers secours qui auraient pu permettre, qui sait, de la sauver et que, ce fait gênant étant avéré, on aurait préféré finalement dire qu’elle était morte le 28 au petit matin, c'est-à-dire à un moment où les Services comptent plus d’effectifs dans les couloirs pour soigner les malades ? Genre « on était bien plus nombreux et compétents le 28 au matin, mais vraiment… On est désolé, on n’a rien pu faire ! » Et oui, comme ça, ça fait plus classe que de dire « elle est morte dans la nuit, quand il n’y avait personne sur place pour intervenir » !