Une chanson sur Paris arrachée du fond de la mer.
La mémoire a ses propres couches géo-logique, ses souvenirs déposés en strates, un millénaire de paillettes et de pavés polis par les passants, la plage toujours sous les pieds de ceux qui y croient. Chacun a son musée Grévin à l'intérieur de lui qu'il ressort quand la mémoire déborde.
Bref, une chanson, un univers créé, habité, qui respire dans la voix lactée.