A Gao, après la chute de la ville le 31mars, la communauté catholique (environ 300 personnes) a été poursuivi par les rebelles islamistes, les « salafistes ».
Des musulmans se sont levés pour les protéger. L’un d’entre eux, réfugié aujourd’hui à Bamako, témoigne de ce qu’il a vu et vécu.