Les cinq candidats qui ont refusé de participer au second tour de la présidentielle en Guinée-Bissau, dont le principal leader d'opposition Kumba Yala, ont "fermement condamné" lundi 16 avril le coup d'Etat militaire du 12 avril et exigé "le retour rapide à l'ordre constitutionnel". Durée: 00:37