MAISON DE VICTOR HUGO
15 mars — 19 août 2012
La Maison de Victor Hugo invite Annie Le Brun
« L’encre, cette noirceur d’où sort une lumière. » Victor Hugo, Dernière gerbe, Tas de pierres, 1856
Annie Le Brun, dont l’essai Si rien avait une forme, ce serait cela emprunte son titre au poète, est invitée à dialoguer avec les collections du musée. A vingt ans, Elle rencontre André Breton et côtoie les derniers surréalistes. Poète et essayiste, son érudition et l’acuité de son analyse puisent aux sources les plus intransigeantes, dans le roman noir, chez Sade, Jarry et Raymond Roussel. Victor Hugo tient une place particulière parmi ceux dont elle se réclame.