Lors de son lancement au salon de Francfort 2009, la Jaguar XF a révolutionné le design de la célèbre et prestigieuse maison anglaise. Depuis, la grande sœur Jaguar XJ s'est alignée sur son style élancé, façon coupé, et aujourd'hui la Jaguar XF ajoute une corde à son arc en se déclinant en break. ( Marc Lacroix / industrie.turbomagazine.be )
C'est au salon de Genève que Jaguar a décidé de présenter sa progéniture. Un modèle imposant, près de 5 mètres de long, mais qui a su conserver des traits profilés et dynamiques. Côté moteurs en revanche, la philosophie cible clairement familles et dévoreurs de kilomètres, puisque seuls les blocs diesels sont retenus, du 4 cylindres 2.2 litres de 190 ch en entrée de gamme, au 3 litres V6 275 ch, en passant par sa version intermédiaire de 240 ch. Selon les configurations, le volume de coffre peut évoluer jusqu'à 1.675 litres, une capacité tout à fait honorable. L'équipement est forcément de haut niveau. Sur option, vous pourrez même disposer de l'ADS (Adaptive Dynamics Suspension), un système d'amortisseurs actifs, ceux-ci étant contrôlés en permanence jusqu'à 500 fois/ sec. Ceci permet notamment de bénéficier d'une assiette constante, quelle que soit la charge, ce qui est particulièrement apprécié dans le chef d'un break. S'il y eut bien un break X-Type il n'y a pas si longtemps encore, ce type de carrosserie n'est pas légion chez Jaguar, ce qui ne l'empêche pas de nous proposer ici un produit élégant et raffiné, mais aussi plus dynamique que les sempiternelles allemandes qui seront ses rivales directes, Audi A6 Avant, BMW 5 touring et autre Mercedes Classe E. Jaguar compte que la Sportbrake représente 20% des ventes de Jaguar XF. Alors, le charme et la séduction british ont-ils toujours la cote ? Réponse d'ici quelques semaines avec les premiers bilans de ventes.
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