Marie-Antoinette et le complot maçonnique : http://www.amazon.fr/gp/product/B00SV5N1ZC/ref=olp_product_details?ie=UTF8&me=
Association Démocratie Royale : www.democratie-royale.com www.democratie-royale.org La souveraine qui répond à ses juges en déclinant son identité et en parlant d'elle-même déjà à l'imparfait – « Je m'appelais Marie-Antoinette Lorraine d'Autriche » – a sans doute elle aussi conscience du simulacre de justice.
Une fin d' après-midi nuageuse tombe sur Paris en ce 16 octobre... Dans le cimetière de la Madeleine, abandonné, à demi dénudé et gisant dans l'herbe, la tête placée entre les jambes, le corps d'une femme : celui de la fille des Césars !
Ultime marque d'opprobre.
Après l'acharnement dans les privations, dans les supplices et les tourments, pareille vexation était-elle encore nécessaire pour abattre la ci-devant reine de France ?
« Pire que le régicide », jugera Napoléon !
À plus de deux siècles de distance, le procès des 14, 15 et 16 octobre 1793, condamnant Marie-Antoinette à la peine de mort, n'est pas clos. On attend toujours le verdict de la justice et de l'équité.