Philippe Pemezec a travaillé sur ce projet de reconstruction de la cité haute du Plessis-Robinson selon deux fondamentaux : architecture douce et mixité sociale.
Huit ans après le lancement des travaux, la nouvelle cité-jardins est inaugurée, autour de sa rivière artificielle.
Le Plessis-Robinson, boycotté par les architectes modernistes, est pourtant salué par le prix de l'art urbain en 1996, le prix de l'aménagement urbain en 1998. La ville reçoit en 2008 le prix européenn d'architecture pour le "Meilleur nouveau quartier urbain d'Europe" et une Victoire du Paysage.