Invité du 22 heures de Sonia Mabrouk lundi soir, Jean-Pierre Bel est revenu sur les conséquences pour le Parti socialiste de l'interpellation de Dominique Strauss-Kahn à New York.
Interrogé sur les faits reprochés au directeur du FMI, il a mis l'accent sur la présomption d'innoncence qui doit s'appliquer à DSK. « Il faut toujours s'adapter à toutes les situations, mais je pense que d'abord, il ne faut pas parler à l'imparfait de l'innocence de Dominique Strauss-Kahn. Il faut attendre ».
Le sénateur a également souligné l'importance du Parti socialiste dans a vie politique française. « Je pense que si les socialistes ont décidé, aujourd'hui, d'être rassemblés c'est parce qu'ils veulent en savoir plus. Et ensuite, en effet, nous sommes une grande formation politique. Ce qui compte c'est que nous représentons également l'espoir de millions de français, qui aujourd'hui ont aussi besoin d'entendre notre voix ».