Extrait du "Parcours de chercheurs" de Jean Faucher, chercheur en génie électrique, professeur émérite de l'Institut national polytechnique de Toulouse.
Jean Faucher a consacré une partie de son activité de chercheur à l'étude du traitement de l'information pour la modélisation, la surveillance et le diagnostic des machines électriques. Par goût et grâce, notamment, à son expérience passée d'expatrié, Jean Faucher a été chargé des relations internationales de l'INPT. Les machines à réluctance variable ont été l'objet principal de son doctorat d'Etat soutenu en 1981. Durant 13 ans, il a été, au sein du Laboratoire LEEI de l'ENSEEIHT, responsable du groupe de recherche sur la commande par calculateurs des ensembles machines-convertisseurs. Au cours de sa carrière, il a, par ailleurs, présidé le jury de l'agrégation de Physique Appliquée.
SCRIPT : "En 2000, il m'a été proposé de prendre en charge la partie non administrative des relations internationales de l'INP. "Que représente l'INP du point de vue relations internationales ? " Une petite structure de 3000 étudiants avec un certain nombre de chercheurs, mais cela représente malgré tout quand on gratte et qu'on regarde l'activité, on peut avoir un indicateur d'activité. L'indicateur, c'est 400 missions par an à l'étranger minimum. Il y en a certainement plus et on s'est aperçu qu'il y avait effectivement un intérêt à pérenniser toutes les actions que l'on lance à l'étranger et un intérêt à avoir une bonne visibilité internationale et à faire profiter nos chercheurs et nos étudiants et nos diplômés de cette visibilité internationale. Chaque étudiant va passer au moins 3 mois à l'étranger sous diverse formes mais des formes que l'on agrée. Ensuite, il y a les participations qui sont les participations de chercheurs. On essaye de capitaliser. Chaque chercheur va à l'étranger, noue des relations privilégiées d'amitié, etc…"