Une "lettre anonyme" est à l'origine des accusations d'espionnage portées par la direction de Renault contre les trois cadres dirigeants mis à pied, a indiqué mardi 11 janvier Thibault de Montbrial, l'avocat de l'un d'entre eux, à l'issue d'un entretien préalable à un éventuel licenciement. Déclarations de l'un des avocats à l'issue de l'entretien avec la direction. Durée: 01:06.