La polémique devient virulente, après le feu vert qui vient d'être donné à la justice et à la police de ficher la race, la religion et les opinions politiques et philosophiques des Francais. Des informations sensibles qui pourront désormais figurer en toute légalité sur les fichiers informatisés des renseignements généraux et de la justice. Déjà le mrap, sos racisme, le syndicat de la magistrature et le syndicat des avocats de France, dénoncent "l'atteinte aux libertés individuelles".
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