Fête de l’humanité, fête de la solidarité, fête de l’amitié, fête de la liberté.
Comment ne pas y aller ?
Ce n’est pas Lourdes, pourtant ça reste un pèlerinage, pas naïf, nous savons, qu’il n’y aura pas de miracles. Pourtant, cette fête, à quelque chose de surprenant.
Quand tu y arrive, tu vois tout ce monde, qui marche en direction de l’entrée, comme s’il était attiré.
Il y a déjà de la musique, en plus il fait beau, et chaud, une journée d’été.
Que de monde, tu te dis, mais comment se fait-il, que nous ne faisons pas, de bons scores aux élections ?
Ça se bouscule, mais ça dit « pardon », pas un mot, plus haut que l’autre.
Ça ri, et tu as l’impression que celles et ceux qui sont là, sont heureux, très heureux d’être présent.
Cette année, j’y suis allé avec mes deux fils, Thierry et Julien, ça ne fera que deux Marx en plus, en tout il y en aura quatre, avec notre cher Karl, eh oui, il plane sur la fête, et ça, depuis 80 ans.