François Chérèque, secrétaire général de la CFDT, estime qu'il faut "absolument revoir" les décisions qui pénalisent les femmes et les précaires. Il prône une réforme qui réduise "les injustices sociales" et surtout qui soit "financée" contrairement au projet actuel qui "renvoie la dette après 2020, aux futures générations".