Au Djurdjura, à Blida, Souk Ahras, Sétif, Alger, Oran, Constantine, en fait, dans la moindre petite bourgade du pays, c’est le même constat sur la situation alarmante du chardonneret. A l’aide de pièges de toutes sortes, glue, filet, pièges espagnols, les jeunes les capturent, les mettent en cage pour la vente qui s’apparente à de la contrebande. Ce beau petit oiseau est sérieusement menacé d’extinction par cette frénésie de capture, qui est pourtant un délit. Depuis quelques années, nous ne faisons qu’accumuler des agressions vis-à-vis des arbres, des singes, des oiseaux, des cours d'eau, de la nature en général !
Ne savons nous pas faire autre chose que détruire ? Nous ne savons nous pas protéger ? Nous ne l’avait on pas appris à l’école ? Ou, est-ce une malédiction ?