Au milieu de ces tas d'ordures, des centaines de cadavres, déversés dans l'urgence. Trois jours après le tremblement de terre, les habitants de Port-au-Prince ont paré au plus pressé. Obligés de se débarrasser de corps en décomposition, ils n'ont eu d'autre choix que d'entasser leurs morts ici, faute de places dans les cimetières.