Déposé le 28 juin dernier, le président Zelaya est toujours réfugié à l'ambassade du Brésil de Tegucigalpa la capitale hondurienne. Les négociations avec le pouvoir de facto n'aboutissent pas et les militaires se sont même amusé à difuser à plein tube de la musique aux abords de l'ambassade du Brésil pour empêcher tout le monde de dormir... Pendant ce temps, les Honduriens paient les pots cassés.