La France peut-elle être contrainte à rapatrier les Français partis combattre en Syrie afin qu'ils soient jugés pour leurs actes ? C'est la question à laquelle devra répondre la cour administrative d'appel de Paris, saisie mercredi par l'avocat d'une des principales figures françaises du jihadisme. Il est particulièrement connu des autorités françaises : Adrien Guihal, alias Abou Oussama al-faransi, visé par un mandat d'arrêt international depuis 2015.