Face à l’adoption du projet de loi sur la grève, les centrales syndicales UMT, CDT, ODT et FSD ont appelé à une grève nationale les 5 et 6 février pour dénoncer une atteinte aux droits des travailleurs et une dégradation du pouvoir d’achat. Avec un taux de participation élevé, la mobilisation a touché plusieurs secteurs stratégiques, illustrant un rejet massif du texte jugé répressif. Malgré cette contestation, la loi a été adoptée, renforçant la détermination des syndicats à poursuivre leur lutte pour un véritable dialogue social.