La plateforme leader du streaming vidéo négocie une meilleure fenêtre d’exploitation des œuvres hexagonales, sans vouloir pour autant augmenter son financement de la création française, qui s’élève à 200 millions d’euros en 2025. Netflix proposera cette année une vingtaine de productions tricolores, comme la série d’animation d’Alain Chabat « Astérix et Obélix », un documentaire sur la grève des joueurs de l’Equipe de France de foot lors du Mondial 2010 en Afrique du Sud, la télé-réalité « Love is blind » présentée par Teddy Riner et sa femme ou le feuilleton quotidien « Tout pour la lumière » en collaboration avec TF1.