Le premier secrétaire du PS Olivier Faure a, jeudi 16 janvier à l'Assemblée nationale, justifié la décision de son parti de ne pas voter la motion de censure en évoquant le monde et ses tensions, Donald Trump qui « promet d'annexer tout le continent américain » ou encore Vladimir Poutine « qui n'a pas baissé ses prétentions face à nos amis ukrainiens ». L'Europe doit être une « puissance d'équilibre », a affirmé le député PS. « Nous avons choisi de ne pas pratiquer la politique du pire parce qu’elle peut conduire à la pire des politiques, c'est-à-dire l'arrivée de l'extrême droite », a-t-il conclu son discours.
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