De Sydney à Rio de Janeiro, en passant par Damas et Paris, la planète a fêté l'arrivée de 2025 durant la nuit du mardi au mercredi, avec de spectaculaires feux d'artifice. Cette célébration a marqué la fin d'une année riche en événements, entre l'or olympique, le retour retentissant de Donald Trump, et d'importants bouleversements en Ukraine et au Moyen-Orient.
## Festivités en Asie-Pacifique et au-delà
La première partie des festivités a débuté en Asie-Pacifique, suivie par le Proche-Orient, l'Europe et les Amériques. Au moment où le Brésil rejoignait la célébration, des centaines de milliers de personnes se rassemblaient à Rio de Janeiro sur la plage de Copacabana. Ils ont applaudi un immense feu d'artifice accompagné d’un concert extravagant d'environ deux heures, mettant en scène les célèbres artistes Caetano Veloso et Maria Bethania, parmi d'autres.
## New York et Paris illuminés
La magie s'est également ressentie à New York, où des dizaines de milliers de personnes avaient pris position dans l'emblématique Times Square pour voir la célèbre boule de cinq tonnes descendre, marquant l’entrée dans la nouvelle année. De son côté, Paris a revêtu ses plus beaux atours pour cet événement, avec plus d’un million de personnes qui se sont réunies sur l’avenue des Champs-Élysées, barrée aux véhicules et ornée de nombreux arbres scintillants.
## Londres et Damas : des célébrations contrastées
En Grande-Bretagne, des milliers d’individus se sont regroupés sur les rives de la Tamise pour admirer un feu d'artifice, bien que la pluie ait entraîné l'annulation de célébrations dans d'autres villes comme Édimbourg. À Damas, après plus de cinquante ans sous le règne du clan Assad, des centaines de personnes ont brandi des drapeaux aux couleurs de la "révolution" dans le centre de la capitale, exprimant leur espoir pour l'avenir après treize ans de conflit civil.
## Un message d'espoir en Ukraine
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a prononcé un discours pour le Nouvel An, affirmant que l'Ukraine devrait se battre à la fois sur le "champ de bataille" et à la "table des négociations" en 2025, espérant mettre fin à près de trois années d'invasion russe.
