“On a essayé de respecter la forme traditionnelle des arènes. On a donc gardé cette forme un peu oblongue et essayer de marquer avec des lignes architecturales un peu forte comme les arches pour créer une connotation traditionnelle à ce bâtiment”, explique Lorène Martin, la cheffe de projet de l’atelier King kong qui supervise le nouveau coeur de vie au Crès.