Après avoir terrorisé plusieurs générations de Réunionnais, la légende de Granmèr Kal subit les affres de la modernité. Mais si l'histoire de la sorcière maléfique perd en influence, celle de Kala, l'esclave à l'origine de la légende, retrouve sa place dans la culture et l'identité réunionnaises. C'est notamment à travers l'art que cette figure iconique retrouve ses lettres de noblesse, comme s'y attelle le collectif Zamkèr.