Un mois après sa nomination à Matignon, le discours de politique générale de Michel Barnier devant l’Assemblée nationale était attendue. Que pourrait dire un Premier ministre qui semble dépendre du bon vouloir de l’extrême droite ? Au final, une feuille de route sans grande originalité, un amoncellement de banalité, mais pour notre éditorialiste Thomas Legrand, ça aurait pu être pire, «le discours du Premier ministre était peut-être ce qu’on pouvait attendre de moins mauvais de la part du chef d’un gouvernement si à droite».