Jean-Christophe Couvy, secrétaire national de l’unité, sur la mort de Kamilya suite à un rodéo urbain : «La loi ne prend pas en charge l’émotion, elle est très froide, ce sont seulement les textes. L’accident nous touche tous, l’opinion publique fait bouger les choses, mais la loi permet de libérer le motard».