«C'est maman ! Je prie Dieu qu'il te ramène», hurle dans un micro Rachel Goldberg-Polin à la frontière avec Gaza, où son fils est retenu captif depuis le 7 octobre. À environ deux kilomètres de Gaza, des dizaines de proches d'otages sont venus parler, grâce à d'immenses haut-parleurs, aux 103 hommes, femmes et enfants toujours aux mains de leurs ravisseurs.