Pour la période des Jeux olympiques, 155 personnes font l'objet d'une mesure individuelle de contrôle administratif et de surveillance (Micas). Une mesure qui limite les déplacements et oblige notamment à pointer quotidiennement au commissariat pendant toute la période des Jeux à Paris. Ces personnes sont considérées comme "potentiellement dangereuses". Amine, étudiant de 21 ans, en fait partie. Il dénonce une injustice.