Déjà dérangées par les différents passages de la flamme olympique, les sorties d'hôpital des patients internés en psychiatrie risquent de l'être aussi pendant toute la durée des Jeux de Paris 2024. Un véritable problème que Dominique Simonnot, la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté, qualifie de "discrimination de masse".