Après une longue gestation, le projet de loi sur la fin de vie arrive en première lecture dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale ce lundi, pour deux semaines. Un projet qui suscite inquiétudes et divisions dans la majorité mais aussi auprès des responsables religieux et chez les soignants. Et pour Olivier Falorni, député Modem de Charente-Maritime, «il y a des euthanasies clandestines dans ce pays donc regardons la mort lucidement».