Le président de la République refuse de débattre avec Marine Le Pen après le 9 juin, bien que la cheffe de file du Rassemblement national à l'Assemblée l'ait proposé. "Si on pense que c'est une élection où se joue une partie du destin de la France, ce que je crois, il faut débattre. Je suis à sa disposition. La balle est dans son camp", a affirmé le chef de l'État.