Blagues lourdes sur le physique, sur les orientations sexuelles... Karine Le Marchand s'exprime pour la première fois sur le cas Manu Levy

2024-04-04 14

Tout a commencé par une longue enquête du journal Libération . Le quotidien a pointé du doigt, ces derniers jours, le comportement de Manu Levy dans la matinale de NRJ où il officie depuis 2008. Star de la matinale, l'animateur de 53 ans est soupçonné d'avoir fait subir du "harcèlement moral" à quatre de ses anciens collègues. S'il reste présumé innocent, il n'empêche que le trublion du 6-9 se retrouve assigné aux prud'hommes où une audience se tiendra le 16 septembre prochain. Depuis, plusieurs voix s'élèvent pour prendre la défense de Manu Levy qui réfute en bloc les accusations qui le visent.

Après Nagui qui a apporté son soutien total à l'animateur, d'autres personnalités ont tenu à prendre la parole et, notamment, Arthur dans un long message publié sur son compte Instagram et dans lequel il a écrit ces quelques mots : "C'est le mec le plus gentil que j'ai eu l'occasion de rencontrer dans toute ma carrière audiovisuelle" a écrit l'animateur avant d'ajouter : "Il n'a jamais manqué de respect à quiconque, sa bienveillance dans le monde de la radio est légendaire. Ceux qui aujourd'hui le salissent gratuitement devraient avoir honte. C'est un grand professionnel qui a inspiré et fait travailler un nombre incroyable de jeunes talents". "Soutien total et indéfectible à mon ami de toujours" a conclu Arthur.

Suite à cette publication, une autre animatrice bien connue a appuyé les dires de l'animateur de Vendredi tout est permis. Il s'agit de Karine Le Marchand . L'animatrice de L'amour est dans le pré a simplement a commenté la publication d'un "Bien d'accord". Un message court mais qui en dit long.

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Qu'est-il précisément reproché à Manu Levy ?

C'est l'hécatombe à NRJ. Après l'affaire Cauet visé par cinq plaintes dont une sur mineur, c'est au tour de Manu Levy de faire fasse à de lourdes accusations. Visage emblématique de la station, le papa de Lili-Rose est visé par quatre anciens salariés de la station notamment pour das faits de harcèlement moral. Les présumés victimes se sont librement exprimées dans Libération. L'un d'elles, Isabelle Giami, ancienne collaboratrice, parle d'un "patron tyrannique" et raconte : "Ce qui est dur, c’est que c’est insidieux. C’est un dénigrement permanent, une petite goutte de poison chaque jour". Par ailleurs, de jeunes standardistes auraient, aussi, rapidement mis fin à leur contrat racontant même être tombé en dépression.

Contacté par Libération, Manu Levy a nié en bloc les