Le journaliste et écrivain Frédéric Ploquin revient sur la scène de guerre qui s'est déroulée à Rennes : «J'ai rencontré un policier qui travaillait dans un quartier chaud de l'Essone, d'origine bretonne, et qui à un moment de sa vie s'est dit 'Je vais demander ma mutation à Rennes'. Il pensait sincèrement trouver la paix et le calme. Ce qui se passe dans les quartiers de Marseille et Paris se retrouve dans tous les recoins du territoire».