Le roi Charles III diagnostiqué avec une forme de cancer
Le Royaume-Uni est sous le choc depuis l'annonce faite par Buckingham Palace le 5 février 2024. Dans un communiqué officiel, il a été révélé que le roi Charles III avait été diagnostiqué d'une "forme de cancer", découvert lors d'une opération bénigne de la prostate. Malgré ce diagnostic, le roi, âgé de 75 ans, compte continuer à s'occuper des affaires de l'État mais devra reporter certaines de ses activités publiques, suivant les conseils de ses médecins.
Les rassurances de Buckingham Palace et de Stéphane Bern
Le communiqué émis par Buckingham Palace a été qualifié de "rassurant" par Stéphane Bern, expert en affaires royales. Il souligne le fait que le roi Charles III va débuter son traitement sans être dans l'incapacité de régner. Stéphane Bern ajoute que le roi continuera d'exercer ses fonctions officielles, comme l'ouverture des boîtes rouges contenant les documents gouvernementaux, malgré le report de certaines de ses activités publiques. Il précise également que la maladie de Kate Middleton et sa longue convalescence restent un mystère, tandis que les informations sur la santé de Charles III sont plus claires.
Les inquiétudes des admirateurs de la famille royale
Certains admirateurs de la famille royale Windsor s'inquiètent tout de même, notamment face au retour du prince Harry. Cependant, Stéphane Bern pense qu'il ne faut pas exagérer les choses. Selon lui, le retour de Harry n'est pas immédiat, mais prévu dans les prochains jours. Il estime que la maladie de Charles III pourra servir à apaiser les tensions familiales qui restent encore douloureuses.
Un rapprochement attendu entre Charles III et Harry
Stéphane Bern souligne également que les chocs émotionnels peuvent favoriser le développement de cancers et que l'épreuve a été très douloureuse pour Charles III, notamment suite aux attaques de son fils dans la presse et dans son livre. Malgré les incompréhensions qui les séparent, il y a autant d'amour entre Charles III et Harry. Leur retrouvaille est ainsi perçue comme une bonne chose. Stéphane Bern ajoute que Harry n'avait d'ailleurs pas vraiment le choix, car il aurait perdu toute crédibilité s'il n'avait pas manifesté son émotion.
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