L'éditorialiste politique, Gérard Carreyrou, à propos de la révolte des agriculteurs dans le pays : «Il y a eu comme d'habitude le en-même-temps gouvernemental. On a dit aux policiers, "laissez, c'est des braves gens", et puis tout d'un coup on serre la vis. C'est pas une porte cassée qui justifie 91 gardes à vue. Quand on voit qu'il n'y a pas eu ça dans le premier jour des émeutes de juin».